L’Institut national de la statistique et des études économiques montre une faible surmortalité mensuelle en 2020, une fois passé le pic de l’épidémie d’avril 2020.52
On remarque une remontée à partir de septembre, mais quoi d’étonnant ? Des gens atteints d’autres pathologies ne sont pas allés consulter leur médecins ou simplement aller à l’hôpital par peur du coronavirus.53
Des cancers n’ont pas été dépistés à temps. La population a abordé la saison hivernale avec un système immunitaire anormalement affaibli à cause des mesures de confinement, de distanciation sociale, du stress, du port du masque… Et qu’en est-il de l’inévitable hausse des suicides, dont les chiffres de 2020 tardent à être publiés ? Et encore, même les chiffres qui ont justifié un deuxième confinement restent relatifs.
Le 26 octobre 2019 : 1648 morts. Le 26 octobre 2020 : 1749 morts. C’est donc cela la seconde vague ?
Selon l’Insee, la mortalitĂ© a augmentĂ© de 9% en 2020 en raison de l’épidĂ©mie de Covid-19, avec 56.000 dĂ©cès de plus qu’en 2019, une surmortalitĂ© qui selon eux n’avait pas Ă©tĂ© enregistrĂ©e en France depuis 70 ans. 54
Ce chiffre alarmant, repris en choeur par toute la presse mainstream, cache cependant un biais que les médias se sont bien gardés d’évoquer : le calcul qui a permis d’aboutir aux 9% de morts de plus en 2020 par rapport à 2019 n’a pas tenu compte de l’augmentation et du vieillissement de la population. 55
Or, selon l’Inserm, “pour comparer globalement la mortalitĂ© dans des populations diffĂ©rentes, on ne peut utiliser le taux brut de mortalitĂ© car il ne tient pas compte des diffĂ©rences de structure d’âge de ces populations”. 56
Les statistiques de l’Insee montrent en effet que la population, en particulier les 70-79 ans, a significativement augmenté entre 2019 et 2020. 57
En examinant le pourcentage de décès en fonction des tranches d’âge, on constate que l’année 2020 a été moins mortelle que 2019 pour les moins de 70 ans.
Ainsi, si on standardise les dĂ©cès en prenant cette fois en compte l’évolution de la pyramide des âges, c’est-Ă -dire en appliquant la population par âge de 2020 Ă toutes les annĂ©es du passĂ©, on constate que 2020 est en rĂ©alitĂ© la 6ème annĂ©e la moins mortelle, toutes causes confondues, de toute l’histoire de France. Pour les moins de 60 ans, on constate mĂŞme que l’annĂ©e 2020 est la moins mortelle jamais enregistrĂ©e en France.
« SurmortalitĂ© : Excès d’un taux de mortalitĂ© par rapport Ă un autre, pris comme terme de comparaison. » – DĂ©finition du Larousse.
« MortalitĂ© : Rapport entre le nombre de dĂ©cès et l’effectif moyen de la population dans un lieu donnĂ© et pendant une pĂ©riode dĂ©terminĂ©e. » – DĂ©finition du Larousse.
Il y a donc eu un record du taux brut de décès, mais pas du taux de mortalité. Et il est très important d’en saisir la nuance.
Certains chiffres passés sous silence par les médias français
L’épidémie de Covid-19 aurait fait 3 millions de morts dans le monde en un an. 58
Ă€ titre de comparaison, les infections respiratoires telles que la grippe ou d’autres virus Ă l’origine de pneumonie font 4,25 millions de morts par an. 59
Les chiffres de la mortalité ne sont jamais remis en perspective avec les événements datant d’avant 2020, qui sont toujours peu circonstanciés, voire passés sous silence par les médias.
Plus de 600.000 personnes meurent chaque année en France. En prenant un peu de recul, la mortalité mensuelle en France depuis 1946 rapportée à la population de 2020 fait transparaître nombre de pics proportionnellement bien plus meurtriers, sans que cela n’ait jusqu’à présent donné lieu à un état d’urgence sanitaire.60 Selon des recherches effectuées par l’Inserm, la grippe de Hong Kong a fait plus de 31.000 morts en France entre décembre 1969 et janvier 1970.
La grippe asiatique a provoqué 100.000 morts à l’hiver 1957-1958. Quant à la grippe espagnole, elle a selon une étude fait 240.000 morts en France entre 1918 et 1919, à une époque où le pays ne comptait que 38 millions d’habitants.
Il y a une corrélation significative entre la mortalité et la température extérieure, et qui est d’autant plus forte que l’âge est avancé. Cette relation devient presque parfaite chez les personnes de plus de 90 ans, comme le montre le graphique ci-dessous, où la température a été inversée pour simplifier la lecture visuelle. 61
En complément, des études montrent que les variations saisonnières influencent le système immunitaire par divers processus biologiques, comme le métabolisme de la vitamine D. 62
Ces statistiques et études remettent totalement en cause le modèle de propagation virale au sein de la population et qui est utilisé par le narratif officiel pour justifier les mesures sanitaires et la politique vaccinale.
Ce phénomène de mortalité qui suit les variations de température s’observe chaque hiver de manière simultanée sur toute l’Europe, y compris entre des pays séparés de milliers de kilomètres. Or, si la diffusion des maladies suivait un modèle de propagation, des décalages temporels seraient visibles, ce qui n’est pas le cas.«
Ainsi, la mortalitĂ© hivernale n’est pas due Ă l’arrivĂ©e d’un virus particulier, mais bien Ă la dĂ©gradation de l’état de santĂ© liĂ©e au changement mĂ©tĂ©orologique. Cela ne signifie pas que les contaminations n’existent pas du tout, mais elles sont au mieux des Ă©piphĂ©nomènes dans lamasse qu’est l’augmentation de la mortalitĂ© hivernale. Il est donc complètement vain de faire de l’isolement des humains l’hiver une prioritĂ© de santĂ© publique, cela ne va rien changer ni Ă l’augmentation de la mortalitĂ©, ni Ă celle des hospitalisations. » – Pierre Lecot, statisticien.
Cela fait plusieurs dizaines de milliers d’annĂ©es que les humains essayent de se protĂ©ger du froid pour Ă©viter d’ĂŞtre malade et en un an de propagande on a rĂ©ussi Ă inciter les Ă©coles et entreprises Ă ouvrir les fenĂŞtres en plein hiver pour Ă©viter que les mĂ©chants virus ne circulent … Cherchez l’erreur
Le seuil épidémique
Le seuil Ă©pidĂ©mique, qui se dĂ©finit comme l’incidence d’une maladie Ă partir de laquelle il peut ĂŞtre considĂ©rĂ© qu’une Ă©pidĂ©mie est en cours, a Ă©tĂ© fixĂ© en France Ă 50 cas pour 100.000 habitants pour le Covid-19, les 100 cas pour 100.000 ne correspondant qu’à une “barre symbolique” et les 150 cas pour 150.000 Ă un “seuil d’alerte renforcĂ©e”. Ă€ titre de comparaison, le seuil Ă©pidĂ©mique des syndromes grippaux est de 84 cas pour 100.000 et celui de la gastro-entĂ©rite est de 150 cas pour 100.000 habitants. Jusqu’à prĂ©sent, le taux d’incidence d’une maladie Ă©tait basĂ© sur le nombre d’hospitalisations, et non sur un taux de positivitĂ© Ă un test.
Les critères de dĂ©finition d’une pandĂ©mie ont Ă©tĂ© modifiĂ©s par l’OMS un peu plus d’un mois avant le passage en phase 6 de l’épidĂ©mie de grippe porcine A/H1N1 en 2009, selon un rapport de commission d’enquĂŞte du SĂ©nat. Auparavant, une pandĂ©mie Ă©tait dĂ©finie par l’apparition de “plusieurs Ă©pidĂ©mies simultanĂ©es Ă travers le monde avec un grand nombre de dĂ©cès et de maladies”. Cette dernière condition, le critère de gravitĂ©, a Ă©tĂ© supprimĂ©e et l’OMS en a modifiĂ© en catimini la dĂ©finition sur son site Internet, sans changer la date affichĂ©e.63
La dĂ©finition d’une pandĂ©mie est devenue : “propagation mondiale d’une nouvelle maladie”.64 Et, tout Ă coup, toute grippe commune et bĂ©nigne peut ĂŞtre transformĂ©e en pandĂ©mie par l’OMS.Pour sa part, l’OMS a affirmĂ© que la dĂ©finition de base de la pandĂ©mie n’a jamais changĂ©, un flagrant dĂ©lit de mensonge rĂ©vĂ©lĂ© par les sĂ©nateurs qui ont comparĂ© les documents de l’OMS.
Lors de son audition Ă la commission d’enquĂŞte de l’AssemblĂ©e parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodarg a estimĂ© que la dĂ©claration de l’Ă©tat de pandĂ©mie, pour une grippe dont les chiffres Ă©taient très faibles pour un niveau d’alarme disproportionnĂ©, a Ă©tĂ© rendue possible par le changement de dĂ©finition. C’est parce qu’il Ă©tait Ă la fois membre du parlement allemand et membre du conseil de l’Europe qu’il a eu le pouvoir d’exposer le canular.Les membres de la commission ont alors reconnu Ă l’unanimitĂ© le rĂ´le qu’ont jouĂ© des firmes pharmaceutiques dans la gestion de l’épidĂ©mie par l’OMS et les États.65
« Le soin de dĂ©finir une pandĂ©mie alarmante ne doit pas ĂŞtre soumis Ă l’influence des marchands de mĂ©dicaments. » – Dr Wolfgang Wodarg, mĂ©decin et Ă©pidĂ©miologiste allemand, ancien prĂ©sident du ComitĂ© SantĂ© de l’AssemblĂ©e Parlementaire du Conseil de l’Europe.
Cela soulève la question de la gestion par l’OMS des conflits d’intĂ©rĂŞts entre ses experts et l’industrie pharmaceutique. Contre toute attente, l’épidĂ©mie de grippe H1N1 a Ă©tĂ© qualifiĂ©e de”fausse pandĂ©mie” dans le rapport du sĂ©nat.
« La dĂ©claration, le 11 juin 2009, par la directrice gĂ©nĂ©rale de l’OMS d’une pandĂ©mie de grippeA (H1N1)v – d’emblĂ©e considĂ©rĂ©e comme « de gravitĂ© modĂ©rĂ©e », « du moins dans ses premiers jours » – a rapidement suscitĂ© des critiques Ă l’Ă©gard de l’OMS, soupçonnĂ©e au mieux d’avoir surestimĂ© le risque et recommandĂ© aux Etats membres des mesures disproportionnĂ©es et d’un coĂ»t dĂ©mesurĂ©, au pire d’avoir « inventĂ© » une pandĂ©mie sous l’influence des industries pharmaceutiques, dĂ©sireuses de rentabiliser leurs investissements grâce Ă l’application des plans nationaux. Après avoir d’abord rĂ©futĂ© en bloc ces critiques, considĂ©rĂ©es comme relevant de “thĂ©ories du complot”, l’OMS semble avoir pris conscience de la nĂ©cessitĂ© d’en tenir compte, mais les premiers indices de cette prise de conscience sont encore insuffisants. »
L’escroquerie de la fausse crise sanitaire du virus H1N1, déjouée par le Dr Wolfgang, montre que ce ne serait pas la première fois qu’une fausse pandémie serait fabriquée de toutes pièces par l’OMS, reprise avec une grande complaisance par les politiques de santé publique.
Sommaire
- Les dessous de la crise sanitaire ( 7 articles )
Préambule
Des hĂ´pitaux Ă bout de souffle
Un virus pas si dangereux
Vrai ou fausse pandémie ?
Test PCR, une escroquerie mondiale
Au cĹ“ur de la manipulation d’Ă©tat
Un mensonge d’Ă©tat
La situation dans les Ehpad - Des décisions politiques (à venir)
- Vers un changement sociétal (à venir)
- Le poids de Big Pharma (Ă venir)
- Le $aint Vaccin (Ă venir)
- Une idéologie sanitaire fasciste (à venir)
- Pandémie ou “ plan” démie ? (à venir)
- La manipulation de masse (Ă venir)
- Un monde sous contrĂ´le des oligarques (Ă venir)
- Projections de ce qui nous attend (Ă venir)
Sources
52 https://www.insee.fr/fr/statistiques/4931039
53 https://www.20minutes.fr/sante/2755903-20200407-coronavirus-urgences-cabinets-medicaux-desertes-crainte-covi
d-19-o-autres-malades
54 https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347349
55 https://youtu.be/m7DHYjKZ1tA
56 https://www.cepidc.inserm.fr/principaux-indicateurs-de-mortalite
57 https://www.insee.fr/fr/statistiques/3312958?champ=fe&annee=2020
58 https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/17/la-pandemie-de-covid-19-a-fait-au-moins-3-millions-de-morts-dan
59 https://www.bfmtv.com/international/les-infections-respiratoires-font-4-25-millions-de-morts-par-an_AN-201011090003.html
60 https://www.revuepolitique.fr/covid-19-quel-bilan-critique-partie-i
61 https://www.lachainehumaine.com/2021/11/la-mortalite-hivernale-est-elle-vraiment-un-phenomene-de-propagation-virale
62 https://www.nature.com/articles/ncomms8000
63 http://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-111.html
64 https://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/pandemic/fr/
65 https://www.humanite.fr/node/430467
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