« Carmen » de Florence, ou les avatars du politiquement correct
Cet énième épisode du bourrage de crâne du politiquement correct a franchi un nouveau cap. Ce ne sont plus uniquement les personnages historiques réels du passé qui doivent maintenant rendre des comptes au nouveau magistère moral de la bien-pensance, mais également les personnages de fictions, ainsi que les intrigues au sein desquelles ils évoluent !